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le train train imaginaire d’une femme au foyer (ou presque) 23 décembre, 2008 ch er journal je m’étais jurée de te chouchouter tous les jours de ma vie internetique mais voilà, la discipline fut plutôt chaotique. c’est promis, maintenant que je dispose d’une connexion intergalactique, je me mets à l’ouvrage dès aujourd’hui et promets de te couvrir de mots, petit à petit. tu seras gravé de toutes mes impressions, de toutes mes émotions. parfois, tu ne seras pas très cohérent mais qu’importe, tu seras un peu mon testament. tu recevras, sans le moindre jugement, mes succès et mes déboires. tu recevras, sans la moindre critique, mes envolées lyriques. souhaite-moi la bienvenue et sois à l’écoute de mes moindres gestes et faits car journal que tu es, un jour peut-être, tu sera un grand manifeste. publié dans non classé | commentaires fermés -- une femme enceinte s’exprime (à votre demande dans la brochure charte-confiance) 18 septembre, 2009 message transmis à la stib – pour de vrai “ a propos de fair-play…. vous oubliez les femmes enceintes (dont je fais actuellement partie et cela se voit), et les personnes âgées. au risque de me prendre des coups dans un bus bondé, ce serait sympa de votre part de faire une compagne d’affichage à ce sujet non pas sur une courte durée mais de façon permanente ou encore de prévoir des sièges réservés à une certaine catégorie (dont celle des gros ventres pour la bonne cause). j’ai encore deux mois « à tirer » et chaque matin, c’est une véritable épreuve qui s’annonce (ne pas recevoir de coups, avoir accès à un endroit où se tenir, ne pas vasciller,…). parfois, on me cède un siège. si,si, je vous assure! je pense pourtant que mon ventre a plutôt des allures de ventre de femme enceinte que de buveuse de bière! merci pour l’attention portée à ma forme d’expression. publié dans je vous dirai tout ou presque | pas de commentaires » -- communications très intimes avec ma grand-mère 16 mai, 2009 je me souviens, vaguement, qu’un soir, endormie dans mon lit, des bras me caressaient. deux nuits de suite s’est produit ce que je ne pouvais imaginer. en effet, j’étais seule ou du moins, visiblement seule. je me souviens de ne pas avoir prêter attention. je me souviens de ne m’être posée aucune question. jusqu’au jour…. rencontre d’un autre type une amie avec qui je partageais des galères m’a conduit, malgré moi, chez une diseuse de la bonne aventure! j’ai, au dernier moment, tenté de me désister mais n’ai pu la joindre. le jour de cette visite tant redoutée, la diseuse de bonne aventure s’est révélée autre. sa première phrase fut la suivante : « une personne tente d’entrer en communication avec vous mais vous n’y prêtez pas attention. » « les bruits que vous entendez dans votre chambre, c’est bien ce que vous pensez! ». je reste perplexe. il se produit en effet des bruits mais qui jusque là ne me semblaient pas suspects. la thèse de la présence d’une souris avait d’ailleurs été explorée et expérimentée en implantant un piège. le résultat fut nul. il se produit, en effet, des bruits du côté d’une étagère de coin qui sans raison apparente chante des refrains! ses bruits n’étaient donc pas anodins! la diseuse de bonne aventure se risque à profiler l’entité présente dans ma chambre : il s’agit vieille dame, morte de vieillesse, sans souffrance particulière et reposant à côté de son mari. il s’agit de ma grand-mère paternelle. d’après ma diseuse, ma grand-mère me définit comme pas bien dans ma peau, zappant devant la télé, précisant même que je me suis rendue chez le dentiste le matin pour réparer une dent que montre ma diseuse. en résumé, quand on croit être seul, on n’est pas si seul. d’autres détails vont arriver et des plus surprenants. je reste toujours sceptique face à ces voyants ou médiums qui se font quand même rémunérer. j’en dis le moins mais de toute évidence, la diseuse ne pose aucune question. le détail le plus surprenant est traduit sous la phrase suivante : « elle dit que tu dois lire le livre. tu sais de quel livre il s’agit? ». oui, je le sais. depuis trois semaines se trouve dans mon sac une réservation fnac d’un bouquin enfin arrivé. le livre s’intitule « le livre des eprits » d’un certain allan kardec… to be continued publié dans non classé | pas de commentaires » -- qu’est-ce qui t’ dit? 7 avril, 2008 qu’est-ce qui t’dit que t’es l’homme de ma vie? qu’est-ce qui t’fait croire que c’est en toi que j’place mes espoirs? qu’est-ce qui t’permet de penser que peut-être de mes enfants, tu seras le père? qu’est-ce qui prouve de la sincérité de ton amour? qu’est-ce qui me dit que tu seras l’homme de ma vie? pour un moment ou pour l’infini? pour une ou pour sept vies? publié dans coup de bluzz | 3 commentaires » -- mon ami, mon mari 2 avril, 2008 dans mon lit t’es mon mari mais dans la vie t’es mon ami. dans ma vie t’es mon mari mais dans le lit t’es mon ami. et dans ton lit qui tu as mis? et dans ta vie qui la remplit? publié dans ôde à mon homme | pas de commentaires » -- every day is the same day 25 mars, 2008 every day is the same day i hope things change but nothing else every day is a boring day from my side, i can’t save myself ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ i need your help to make this day a special day amazing day ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ i need your help to save my flame this burning flame ungrowing flame ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ every day will be another day things will change but nothing else every day will be a surprising day from your side, you will bring me far. publié dans coup de bluzz | pas de commentaires » -- crise héroïque 29 février, 2008 crise de panique tout mon corps se crispe crise tétanique et fantasmatique c’est volcanique et pathétique est-ce une tactique de mon corps problématique? publié dans non classé | pas de commentaires » -- mes collègues me pompent l’air; y en a déja si peu! 27 février, 2008 on ne devrait pas subir les incompétences de ses collègues! cela ne devrait pas être toléré sur le lieu du travail. connaissez-vous ce genre de personnes jamais contentes: que vous fassiez un truc ou que vous ne le fassiez pas, elles trouveront toujours à redire. et bien, je vis cela au quotidien. vous avez aussi ce genre de collègues préférant aux nouvelles facilités dont nous pouvons bénéficier, les méthodes à l’ancienne. par exemple, taper les adresses une par une alors qu’en deux, trois clics, sans vous fatiguer, vous faites une fusion de 200 courriers, option qui a révolutionné le monde du traitement de texte. evidemment, en comparaison avec ce genre de specimen, je suis d’office plus rapide dans l’accomplissement de mes tâches. je peux, à priori, ne pas sembler être occupée durant mes 8h36 à prester alors qu’en réalité, j’aime travailler vite et bien en utilisant tous les outils informatiques qui contribuent à nous faciliter la vie. c’est faire preuve d’un minimum d’intelligence, non? pourquoi je m’en priverais? mais cet acharnement pour les méthodes dépassées peut s’expliquer par ceci : on semble ainsi occupé durant la journée entière, sans le moindre effort intellectuel (ce que je nomme la paresse intellectuelle, j’en reparlerai ultérieurement) et donc ne pas être potentiellement disponible sur le marché des bonnes âmes aptes aux tâches les plus diverses. ce qui serait vraiment pertinent, même dans un cadre administratif, c’est de mettre en place des outils d’évaluation de rentabilité, de flexibilité et de polyvalence. le résultat serait certes différent du résultat obtenu sur des a-prioris mais d’autant plus révélateur. publié dans déboires professionnels | pas de commentaires » -- des projets en l’air! 26 février, 2008 les idées, les projets, cela ne me fait jamais défaut. je me sens mal par rapport à ceux-ci : en effet, lesquels d’entre eux voient le jour ? lesquels d’entre eux prennent naissance ? le comportement que j’ai est désespérant. c’est vrai, quoi ? finalement, qu’est-ce que je mets en œuvre pour changer l’état des choses ? ce n’est certainement pas en rédigeant dans ce journal int